Cabo Ledo, retour de pêche
Fin d’après midi au village de Cabo Ledo.
Même sur une simple barque, même élimé, le drapeau angolais flotte fièrement. Un signe d’espoir ? Comme la devise sur les épaules de celui qui dirige la manœuvre ?
La barque fataliste « C’est Dieu qui sait » (traduction – impression, sans doute inexate) est restée sur le sable, près des détritus.
Pêcheurs, femmes, enfants de la plage, tout le monde vient prêter main forte pour sortir le bateau ou trier le poisson pour les moins solides. La distribution sera complexe. C’est l’heure aussi de ravauder les filets.
A la sortie du village, l’église, de terre et de bois, dont seule la porte colorée rappelle la fonction. Pauvre, mais prête à reverdir, comme les villages angolais ?