Catete

Catete

Les promenades angolaises débouchent souvent sur des ruines, de la rouille, ou des débris plastiques.

Cette fois, c’est le train du progrès arrêté sur le bas côté et envahi d’herbes.

De nouveau, on pense aux rêves de grandeur, au gâchis de la guerre. Où allons-nous?

Où nous mènent les chinois… enfin, si on prend le train.